La Fondation de l’athlète d’excellence du Québec et Saputo ont récemment annoncé les récipiendaires de la 17e édition de leur Programme de bourses.
C’est un total de 45 récipiendaires du Programme de bourses Saputo, qui se sont partagé un montant total de 133 000 $ en bourses individuelles.
Quatre types de bourses ont été octroyées cette année, soit 20 bourses d’Excellence académique pour récompenser les excellents résultats scolaires, 23 bourses de Soutien à la réussite académique et sportive pour encourager la bonne conciliation du sport et des études, une bourse Persévérance pour reconnaître le parcours atypique et la détermination dans les épreuves rencontrées et une bourse Leadership pour souligner la somme des succès sportifs et académiques jumelée à une implication communautaire à la fois importante et inspirante.
Léonie Portelance de Brossard et Sara Trandji de Longueuil, ont reçu une bourse de 2000 $ dans la catégorie Excellence académique (Soccer-fille). Puis, dans la catégorie Soutien à la réussite académique et sportives (Soccer-fille), une bourse de 2000 $ a été remise à Camara Souleymane de Longueuil et étudiante au Collège Dawson.
Sept boursiers et anciens boursiers du Programme Saputo se sont démarqués en participant aux Jeux olympiques et paralympiques de Rio, notamment la double médaillée olympique Meaghan Benfeito et Philippe Gagné en plongeon, Dorothy Yeats en lutte olympique et le médaillé paralympique Alexandre Dupont en para-athlétisme.
Dans la catégorie Excellence académique, Justine Brasseur de Brossard a reçu aussi une bourse de 2000 $. Elle évolue en patinage artistique. Roxane Makob, de Saint-Hubert, étudiante à l’école Gérard-Filion, a aussi reçu une bourse de 4000 $ dans la catégorie Soutien académique et sportive. Elle est en basketball.
Le président de la Fondation, M. Claude Chagnon, a tenu à remercier Saputo de son appui des dix-sept dernières années ainsi que pour sa loyauté et sa générosité envers la Fondation. « Saputo a compris l’importance d’appuyer non seulement les étudiants-athlètes qui se distinguent déjà sur la scène internationale, mais surtout les athlètes, moins connus, qui reçoivent un très faible appui financier et une visibilité minimale », a souligné M. Chagnon.