Las mairesse de Sainte-Julie et présidente de l’UMQ, Suzanne Roy.
Le 31 octobre dernier, des maires étaient réunis à Thurso, pour la Journée mondiale des villes. La présidente de l’Union des municipalités du Québec (UMQ) et mairesse de Sainte-Julie, Suzanne Roy, participait en compagnie d’élus municipaux, au Forum citoyen « Ensemble, une vision pour demain », organisé par la Ville de Thurso.
Suzanne Roy profitait d’un panel sur le thème « La réalité municipale permet-elle de réaliser la ville rêvée par les citoyens? » pour rappeler les propositions mises de l’avant dans le Livre blanc municipal de l’UMQ et
réitérer l’importance de reconnaître les municipalités comme de véritables gouvernements de proximité afin qu’elles puissent mieux répondre aux besoins des citoyennes et des citoyens.
« On le constate de plus en plus, les défis mondiaux actuels se vivent avant tout localement, que l’on parle d’adaptation aux changements climatiques, d’innovation, ou de mondialisation de l’économie. Il n’est donc pas
surprenant que les réponses à ces défis se trouvent également sur la scène locale, tant en matière de préservation de l’environnement, de cohésion sociale, ou de création de richesse »,
indique Madame Roy.
La mairesse de Sainte-Julie estime que devant cette réalité, les municipalités, comme gouvernements de proximité, doivent de plus en plus prendre une place entière et égale aux autres paliers de gouvernement.
D’ailleurs, aux yeux de l’UMQ, l’Accord de partenariat avec les municipalités, signé en septembre dernier par le gouvernement du Québec et les partenaires municipaux, constitue un pas de plus vers une refondation du partenariat Québec-municipalités.
« Plus d’autonomie et plus de pouvoir, c’est nécessaire pour notre métropole et notre capitale, tout comme c’est nécessaire pour les huit autres grandes villes, les cités régionales, les municipalités de centralité, les municipalités de la métropole et, bien sûr, les municipalités locales comme Thurso. C’est aussi et surtout nécessaire pour les citoyennes et les citoyens », conclut la présidente de l’UMQ.
(Source UMQ)
