Les députés saluent le travail de PKP

Les député péquistes de Longueuil salue leur chef Pierre Karl Péladeau.

Les député péquistes de Longueuil salue leur chef Pierre Karl Péladeau.

La députée de Vachon, Martine Ouellet, a adressé ses voeux de salutation à son chef démissionnaire, Pierre Karl Péladeau, après qu’il ait annoncé son retrait de la politique active pour être plus présent auprès de ses enfants.

Elle salue l’engagement politique et l’énergie dont il a fait preuve pour le développement économique et l’indépendance du Québec.

“Comme chef du Parti Québécois, il s’est battu farouchement pour le maintien de nos sièges sociaux au Québec et la sauvegarde de nos emplois. Pour lui, l’indépendance, c’est aussi une façon d’enrichir les Québécois et les Québécoises. C’est un message qu’il faut continuer de porter!” a-t-elle écrit sur son mur Facebook.

Alors que la députée Ouellet lui souhaite beaucoup de bonheur auprès de ses enfants et de sa famille, elle souligne en passant le respect qu’elle a pour un homme d’affaires de son envergure qui avait fait le choix de faire de la politique pour l’indépendance et l’avenir du Québec. Selon elle, c’est remarquable.

La députée de Taillon, Diane Lamarre, a aussi voulu lui rendre hommage.

Elle a dit: “je peux témoigner de son immense générosité. Depuis son élection comme chef du Parti Québécois, peu de gens le savent, mais il a visité toutes les régions du Québec, y a donné des centaines de conférences dans les cégeps, les universités, les Écoles de formation. Tant de mains serrées toujours avec un regard franc et une écoute des Québécoises et des Québécois.”

Diane Lamarre le remercie pour son attention à son endroit et à l’endroit de chacun des députés ainsi que pour sa confiance inébranlable dans la force et le potentiel de la nation québécoise.

De son côté, Bernard Drainville écrivait: “Les mots ne suffisent pas. Une tristesse profonde, un chagrin immense. Tu nous avais déjà démontré qu’entre l’intérêt financier et l’intérêt national, il faut choisir la nation. Tu avais fait le choix du pays et nous t’en remercions. Tu nous dis aujourd’hui qu’entre la politique et nos enfants, il faut choisir nos enfants. On peut remplacer un chef, aussi difficile que ce soit, mais on ne peut pas remplacer un père.”