La FCCQ et la CCIRS travailleront de concert pour favoriser le développement économique

La présidente-directrice générale de la Fédération des chambres de commerce du Québec

La présidente-directrice générale de la Fédération des chambres de commerce du Québec

Saluant la nomination du nouveau Cabinet ministériel fédéral, la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS) travailleront de concert afin de favoriser le développement économique

Les deux organismes se réjouissent de la place accordée au Québec au sein du Conseil des ministres. « Nous avons très hâte de collaborer avec les nouveaux membres du Cabinet et nous sommes particulièrement heureux du nombre important de ministres québécois assermentés aujourd’hui. Six ministres sur trente », rappellent Mme Françoise Bertrand, présidente-directrice générale de la FCCQ et M. Denis Leftakis, président de la CCIRS.

ils tiennent à souligner la présence-clé de ministres du Québec au sein de comités ministériels influents, notamment M. Stéphane Dion et M. Jean-Yves Duclos.

Lors de la campagne électorale, la FCCQ avait exposé les attentes et priorités du milieu des affaires québécois quant aux actions du futur gouvernement pour favoriser le développement économique et la compétitivité des entreprises comme d’accroître la productivité, de stimuler l’entrepreneuriat, d’attirer les investissements, d’agir comme facilitateur du développement économique, d’accroître la marge de manœuvre financière du pays, de développer et de mettre à niveau les infrastructures de transport et de
télécommunications.

« Il est important que le nouveau gouvernement fasse siennes les préoccupations du milieu des affaires, et que le Cabinet constitué aujourd’hui puisse poser les gestes nécessaires en ce qui concerne ces enjeux essentiels pour la croissance économique du pays », d’ajouter Françoise Bertrand et Denis Leftakis, président de la CCIRS.

La FCCQ et la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud notent cependant l’absence de l’agence de développement économique pour les régions du Québec, qui jouait un rôle important.